lundi 19 février 2007

Profil de l'Internaute Québécois

En décembre 2005, environ 4 millions de Québécois utilisent l’Internet au moins une fois par semaine, comme le montre les statistiques les plus récentes[1]. Mais qui sont ces internautes québécois ? Quel âge ont-ils ? Quel est leur niveau de scolarité ? Leur quartile de revenu ? Où habitent-ils ?

En se penchant sur les statistiques publiées le plus récemment, notamment dans le rapport NETendances, nous sommes parvenus à répondre à ces diverses questions.


1.1 Age des internautes

Tout d’abord, au début de 2006, la plus forte croissance dans l’utilisation de l’Internet est attribuable aux plus jeunes du groupe, autrement dit aux 18-24 ans, avec une augmentation de 6,6% durant l’année 2005. De plus, comme en témoigne le graphique (page15), les groupes d’âges les plus présents sur Internet sont les 18-24 ans, les 25-34 ans et les 35-44 ans. On note cependant que les personnes âgées de plus de 45 ans sont de plus en plus nombreuses à utiliser l’Internet depuis l’an 2000. Ainsi, tout comme la population québécoise en général, on assiste à un « vieillissement » de la population en ligne et à la confirmation d’un segment non négligeable, atteignable par Internet, à savoir celui des seniors.


1.2 Sexe des internautes

Concernant le sexe, les données[3] indiquent que 37,4 % des ménages dont le chef est une femme n’ont jamais utilisé Internet et seulement 17 % des ménages dont le chef est une femme, utilisent l’Internet régulièrement de la maison contre 31.9 % de l’extérieur de la maison. Ainsi, selon les données recueillies, les femmes semblent moins utiliser l’Internet que les hommes.


1.3 Niveau de scolarité des internautes

Nous n’avons malheureusement pas d’information récente sur le niveau de scolarité des internautes québécois, cependant, nous savons qu’au Canada, 89.4 % des internautes détiennent un diplôme universitaire (tous cycles confondus), suivi par les études secondaires ou collégiales avec une proportion de 72 %. À noter que les Canadiens, qui détiennent moins qu’un diplôme d’études secondaires, sont à peine 30 % à naviguer sur le Net. Ainsi, nous pouvons observer que l’utilisation de la toile par les Canadiens se fait majoritairement par des personnes ayant un niveau de scolarité et donc un niveau d’éducation élevés[4].


1.4 Revenu des internautes

Selon les données de l’Institut de la Statistique du Québec[5], en 2003, les internautes québécois font partie des personnes ayant un revenu élevé car 42.4 % des ménages québécois utilisant l’Internet ont un salaire annuel de 40 000 $ ou plus et font donc partie des 3e et 4e quartiles de revenus.


1.5 Répartition géographique des internautes

Enfin, l’utilisation de l’Internet selon le lieu d’habitation connaît encore aujourd’hui un écart entre les grandes métropoles et les régions. En effet, en 2005, un fossé subsiste entre les régions rurales et urbaines, notamment à cause d’un manque d’accès au haut débit pour les régions. Ceci semble être expliqué par le fait que la fibre optique, bien qu’installée partout en province, soit réservée pour les hôpitaux, notamment en Gaspésie[6]. C’est pourquoi l’utilisation d’Internet dans cette région est plus faible.


1.6 Remarque

A noter que la distinction n’est pas faite entre les personnes utilisant l’Internet à des fins professionnelles ou à des fins personnelles. Ainsi, les internautes utilisant le Web à des fins personnelles ne correspondent pas exactement aux conclusions données précédemment car les « […] groupes [qui] naviguent davantage sur le Web à des fins personnelles [sont]: les jeunes adultes âgés entre 18 et 24 ans (8,1 heures en moyenne), les étudiants (8,3 heures), les personnes sans emploi (7,2 heures) et les gens qui habitent un ménage dont le revenu annuel est inférieur à 20000 $ (7,6 heures)[7].

Ainsi, il paraît difficile de faire un portrait très précis de l’internaute au Québec. Cependant, il semble que l’internaute québécois soit un homme, vivant en milieu urbain, majoritairement âgé de moins de moins de 35 ans, qu’il ait un revenu annuel supérieur à 40 000$ ou alors qu’il soit étudiant.
A noter qu’outre l’établissement d’un profil socio-démographique des internautes québécois, il est intéressant de se pencher davantage sur les activités réalisées chaque semaine par des millions d’internautes.

2. L’internaute québécois – activités

2.1 Matériel et équipement

L’informatisation des ménages
Selon l’enquête réalisée par le CEFRIO, en collaboration avec Léger Marketing, publiée en 2006[8], 73,5 % des adultes québécois ont déclaré posséder un ordinateur à leur domicile en 2005 et 14,3 % des adultes québécois prévoyaient en acheter un.

Graphique : Informatisation de ménage et intention d’achat (page 18)

Par contre selon « l’Enquête sur les dépenses des ménages » et « l’Enquête sur l'utilisation d'Internet à la maison », toutes deux de Statistique Canada, en 2003 23,2 % des ménages qui possédaient un ordinateur (68,1 %) n’étaient pas branchés à Internet et 35,1% de ces ménages ont répondu ne pas manifester d'intérêt pour une connexion Internet[9].

Dépenses moyennes en équipement
Sur une période de quatre années (2000 à 2004), selon les études de Statistique Canada, les dépenses moyennes par ménage ayant déclaré avoir eu des dépenses pour les matériels informatiques ont diminué mais ces études révèlent aussi une forte augmentation des dépenses en services Internet.
2.2 Fréquences d’utilisation et accès

Le branchement à Internet au domicile
En 2005, parmi les 73,5% des adultes québécois qui ont déclaré posséder un ordinateur à leur domicile, 57,6% possédaient uniquement un ordinateur de table, 4,9% uniquement un ordinateur portable et 11% les deux types d’appareils. La même année, 64,8 % des Québécois habitaient dans un ménage branché à Internet , dont 25,4% disposaient d’une connexion haute vitesse par câble , 23,9% disposaient d’une connexion haute vitesse téléphonique et 15,5% d’une connexion téléphonique basse vitesse .[10]

L’intensité de l’utilisation
Les données publiées par Ipsos Reid en 2005 montrent « que les Québécois sont loin d’être des cyberdépendants ». Cette information est confirmée par NETendance qui constate qu’en 2005 les québécois consacrent en moyenne 4,9 heures par semaine[11] comparativement aux Canadiens qui eux, en général, consacrent 12,728 heures par semaine. [12]

2.3 Activités préférées des québécois sur Internet

Activités courantes
En 2005 le CEFRIO a sondé les Québécois à propos de leurs activités courantes sur Internet. Les résultats de cette vaste étude constituent le rapport NETendances 2005. L’enquête réalisée a mis en évidence que « le courriel, le Web informationnel, le clavardage (chat), la musique en ligne et maintenant les vidéos en ligne sont des activités de plus en plus répandues »[13]

Le courrier électronique
En 2005 près de 60% d’adultes québécois possédait une adresse électronique et en décembre même année 57,9 % de québécois ont communiqué par courriel. [14]

La musique en ligne
Lors de l’étude de NETendances 2006, 18,6% des adultes québécois ont répondu avoir pratiqué l’écoute et le téléchargement de musique en ligne en décembre 2005, une proportion qui est demeurée sensiblement la même depuis 2003[15].

Le clavardage
En 2005, c’est 26% de la population adulte à travers la province qui chat.[16] Mais si l’on ajoute les mineurs, il est probable que ce pourcentage soit beaucoup plus élevé. En effet, « 71,8 % des adolescents québécois âgés entre 12 et 17 ans utilisent Internet pour clavarder », selon les données recueillies pour le rapport NetAdos[17], réalisé en février et en mars 2004.
Le jeu en ligne
L’enquête Indicateurs numériQC 2005 montrait qu’en 2005 « 25% des adultes québécois jouent à des jeux vidéo et ils y consacrent en moyenne 6,2 heures par semaine ». [18]
En ce qui concerne uniquement le jeu en ligne, les chiffres recueillis par le CEFRIO indiquent qu’en 2005, entre 12,7% et 13,8% (selon le mois de l’année) des adultes québécois ont pratiqué cette activité comparativement à 11,3 % en décembre 2004.[19]
Les vidéos en ligne
Les données recueillies en décembre 2005 par NETendance, montrent que seulement «un adulte sur dix (10,3%) pratique ce passe-temps. Par contre cette activité devrait augmenter au cours des prochaines années, facilitées par la haute vitesse, les nombres de plus en plus élevés de foyers branchés et l’offre de vidéos de qualité ».[20]

La planification des vacances
Préparer un voyage est devenu pour plusieurs synonyme d’une recherche sur Internet. « Au Québec, à l’été 2005, plus du tiers (35,3%) des adultes prévoyaient planifier leurs vacances au moyen du l’Internet. »[21]

Activités nouvelles
La recherche d’emploi, les blogues, les listes d’envoi sont autant de nouvelles tendances en croissance qu’a cherché à mieux connaître le CEFRIO par le biais du sondage NETendances 2005.[22]

Conclusion
La conclusion du rapport indique que « 29 % adultes québécois ont recherché un emploi sur Internet, 28,5 % se sont abonnés à une liste d’envoi par courriel, 12,3 % québécois en général ont déjà consulté un blogue sur Internet et 10,5 % ont suivi une formation en ligne. Quant à la téléphonie IP, 9,5 % des Québécois disent y être abonnés.» [23]

2.3. Confiance des internautes québécois lors des transactions en ligne

Sécurité des Renseignements Personnels
Au Québec, en date de juillet 2005, environ 33,9 % des Québécois (2 millions d’habitants) ont fait l’achat d’un bien ou d’un service en ligne, comparativement à 27,6 % d’entre eux (1,63 millions d’habitants) qui n’ont utilisé l’Internet qu’à des fins de magasinage, préférant ensuite faire leurs achats en magasins.
La valeur des ventes au détail au Québec s’élève à près de 84 milliards de dollars en 2005.[24] Enfin, le niveau de dépenses en commerce électronique a augmenté chaque année de 244 millions dollars en 2002 à 345 millions dollars en 2003 dans la province.[25] Ces statistiques suivent les tendances canadiennes. Les Québécois sont donc quelques peu méfiants face au fait de réaliser des transactions sur Internet, principalement en raison du :
a. type de produit acheté, qui peut demander d’être essayé, par exemple; et
b. risque perçu de fraude ou de vol de renseignements personnels lors d’achats par carte de crédit sur Internet. [26] À noter que plus de 50% d’entre eux considèrent les achats par carte de crédit non sécuritaires. [27]

Sécurité du matériel informatique
« En septembre 2005, 12,3 % des adultes québécois ont affirmé avoir été victime d’une tentative de fraude par courriel ou par Internet ».[28]

Les ordinateurs de 38 % des Québécois ont été infectés par un virus ou espiogiciels au cours de l’année 2005[29] bien que près de 9 Québécois propriétaires d’ordinateur sur 10 ont déclaré que leur appareil est équipé « d’un pare-feu ou d’un antivirus ».[30] Ainsi, il semble qu’en dépit de posséder les meilleures protections, la prudence est toujours de rigueur lorsque l’on navigue sur Internet.

2.4. Usage d’Internet à des fins éducatives

Au niveau des statistiques pour le Québec, en août 2005, « 10,5% des Québécois adultes avaient déjà suivi une formation ou un cours par Internet. Puisque la formation en ligne est offerte dans les universités, la majorité des gens qui ont suivi une telle formation sont des jeunes adultes (18-24 ans : 23,6%; 25-34 ans : 19,5 %), des étudiants (29,6%) et des diplômés universitaires (21,8%). Enfin, les hommes (13,8%) sont presque deux fois plus nombreux que les femmes (7,5%) à avoir suivi un cours en ligne. » [31] Ainsi il y a tout lieu de croire que ce médium d’enseignement sera de plus en plus populaire au cours des prochaines années.

2.5. Usage d’Internet dans les entreprises

On estime que plus de 84 % des entreprises de la province utilisent Internet régulièrement alors qu’environ 12 % d’entre elles ne sont pas reliées à Internet.[32] Il y a environ 5% des PME québécoises[33] qui n’utilisent toujours pas d’ordinateur[34] à l’ère de l’informatisation et des technologies de l’information ce qui représente un fait assez étonnant dans les circonstances.
Pour certaines, il permet d’avoir un intranet (25 %), pour d’autres un extranet (18 %) et enfin pour 53 % de ces PME branchées, un site web (53 %).[35]

La protection des systèmes informatiques est également importante au niveau corporatif comme au niveau personnel. Toutefois, il semble exister une lacune quant à la gestion de l’utilisation d’Internet par les employés alors seul 46% des entreprises ont une politique à ce sujet.[36]
Il est intéressant de noter qu’à l’échelle canadienne, les secteurs qui utilisent le plus Internet sont : les services d'enseignement, l'industrie de l'information et l'industrie culturelle, les Arts/Spectacles et Loisirs (cf. Statistique Canada)

De même, il est surprenant, voir décevant de constater que le secteur du commerce de détail au Canada tarde à utiliser l’Internet vu la propension des Canadiens à magasiner sur le Web.

3. Benchmarking avec les utilisateurs d’Internet aux États-Unis

Le département du commerce aux États-Unis a produit un tableau en 2002 concernant l’utilisation de l’Internet selon la distribution des âges qui diffère des approches de présentation statistique que nous sommes habituées de voir. Comme mentionné par M. Gauvin dans son blogue – Utilisateurs d’Internet : distribution des âges du 29 janvier 2007[37], l’Internet n’est pas dominé par les jeunes et le tableau invite à la prudence dans nos interprétations quant à l’âge de l’utilisateur principal.

Nous avons mis ce tableau à jour avec les données disponibles au Census Bureau aux États-Unis (cf. image 1). Malgré le fait que les seules données pertinentes ne s’étendent que jusqu’en octobre 2003, on réalise toutefois avec les chiffres obtenus que l’utilisation d’Internet a connu une nette progression pour tous les groupes d’âges (par exemple, près de 20% pour les internautes de 20 à 25 ans en deux ans seulement) en deux ans.
Autre fait intéressant : la masse des internautes les plus actifs a changé. En 2001, le groupe présentant le taux le plus élevé d’utilisation était celui des 15-20 ans alors qu’en 2003, c’est le groupe des 20–25 ans qui présente le plus haut taux de participation. Plusieurs conclusions peuvent découler de cette tendance mais une observation semble être prédominante plus qu’une autre ; c’est qu’on ne parle pas d’un nouveau groupe mais plutôt du même groupe de jeunes 2001 qui a vieilli tout simplement. Le fait que ce groupe ait « baigné » dans l’Internet à un jeune âge pour assimiler les rudiments de l’Internet semble avoir influencé leurs comportements vis-à-vis l’Internet à long terme. Un aspect qui mérite certainement d’être étudié plus en profondeur.

De plus, en comparant brièvement les internautes québécois (cf image 2) avec ceux des Etats-Unis, on réalise qu’il y a beaucoup de similitudes au niveau des intérêts mais on constate des différences notables au niveau de l’âge d’utilisation. En effet, l’utilisation est relativement stable aux Etats-Unis jusqu’à l’âge de 50 ans alors que chez nous, on remarque une baisse d’intérêt à partir de l’âge de 35 à 44 ans.

Références :
[1] http://www.cefrio.qc.ca/rapports/Rapport_abrege_NETendances2005.pdf, p.15
[2] http://www.cefrio.qc.ca/rapports/Rapport_abrege_NETendances2005.pdf, p.17
[3] http://diff1.stat.gouv.qc.ca/savoir/indicateurs/tic/menages/internet_utilisation_demo_qc.htm
[4] http://www40.statcan.ca/l02/cst01/comm15_f.htm
[5] http://diff1.stat.gouv.qc.ca/savoir/indicateurs/tic/menages/internet_utilisation_demo_qc.htm
[6] http://archives.radio-canada.ca/IDCC-0-16-1663-11490/sciences_technologies/internet/
[7] http://www.cefrio.qc.ca/rapports/Rapport_abrege_NETendances2005.pdf, p.44
[8]www.cefrio.qc.ca/rapports/Rapport_abrege_NETendances2005.pdf, p.18
[9] www.stat.gouv.qc.ca/savoir/indicateurs/tic/menages/nu_raisons.htm
[10] www.cefrio.qc.ca/rapports/Rapport_abrege_NETendances2005.pdf
[11] www.cefrio.qc.ca/rapports/Rapport_abrege_NETendances2005.pdf
[12] Ipsos Reid (2005). « The Internet continues to impact consumers' usage of other media », communiqué de presse, 9 août. www.ipsos-na.com/news/pressrelease.cfm?id=2749
[13] NETendances 2005, Utilisation d’Internet au Québec, CEFRIO 2006, p.35
[14] NETendances 2005, Utilisation d’Internet au Québec, CEFRIO 2006
[15] NETendances 2005, Utilisation d’Internet au Québec, CEFRIO 2006
[16] www.cefrio.qc.ca/rapports/Rapport_abrege_NETendances2005.pdf, p.39
[17] www.cefrio.qc.ca/rapports/NetAdos_2004_rapport.pdf
[18] www.numeriqc.ca/documents/evenements/2005/Indicateurs_2005.pdf
[19] NETendances 2005, Utilisation d’Internet au Québec, CEFRIO 2006, p.41
[20] NETendances 2005, Utilisation d’Internet au Québec, CEFRIO 2006, p.42
[21] www.cefrio.qc.ca/rapports/Rapport_abrege_NETendances2005.pdf, p.48
[22] NETendances 2005, Utilisation d’Internet au Québec, CEFRIO
[23] www.cefrio.qc.ca/rapports/Rapport_abrege_NETendances2005.pdf
[24] www.cefrio.qc.ca/rapports/Rapport_abrege_NETendances2005.pdf, p. 23-24
[25] www40.statcan.ca/l02/cst01/comm07c_f.htm
[26] www.cefrio.qc.ca/rapports/Rapport_abrege_NETendances2005.pdf, p.25
[27] http://www.cefrio.qc.ca/rapports/depliant_NETendances2005.pdf, p.2
[28] www.cefrio.qc.ca/rapports/Rapport_abrege_NETendances2005.pdf, p.59
[29] www.infometre.cefrio.qc.ca/loupe/omnibus/securite_0906.asp
[30] www.infometre.cefrio.qc.ca/loupe/omnibus/securite_0906.asp
[31] www.cefrio.qc.ca/rapports/Rapport_abrege_NETendances2005.pdf, p.55
[32] www.cefrio.qc.ca/nouvelles.cfm?Id_actualite=1064
[33] http://www.ledevoir.com/2003/10/18/38422.html
[34] http://www.cefrio.qc.ca/rapports/depliant_netPME2006.pdf, p.2
[35] http://www.cefrio.qc.ca/rapports/depliant_netPME2006.pdf, p.2
[36] http://www.cefrio.qc.ca/rapports/depliant_netPME2006.pdf, p.2
[37] http://entreprisedigitale.typepad.com/main/2007/01/utilisateurs_di.html

3 commentaires:

Anonyme a dit…

1) Vraiment excellent! Et contrairement aux anciens travaux, celui-ci est accessible par tous et sera très certainement référé par plusieurs.

2) Le CEFRIO publiera ses chiffres le 23 février -- tu veux peut-être communiquer avec eux, ou mettre à jour

Anonyme a dit…

Je viens de relire + attentivement. Un commentaire sur un point précis:

Merci d'avoir pris le temps de mettre à jour le graphe de la distribution des âges et d'avoir généré un document comparable pour le Québec. Mérite d'être examiné en profondeur.

Une hypothèse me vient à l'esprit en ce qui concerne la clientèle plus jeune -- plusieurs signes suggèrent qu'elle migre sur la téléphonie mobile.

Anonyme a dit…

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